La direction de la Faculté est heureuse de communiquer les
excellents résultats des étudiants aux différents concours auxquels ils ont été préparés l’an dernier.
La première promotion de la CPGE ouverte en 2012 avec le lycée
Léon Blum a fait une entrée remarquée dans le club très fermé des CPGE
littéraires qui font intégrer des normaliens : sur ses 29 khâgneux, six
ont été sous-admissibles, deux admissibles et un admis au concours de l’ENS de
Lyon ; un étudiant a été sous-admissible, un autre admissible et un
admis sur dossier (avec 20 à l’écrit en philosophie) à l’ENS de Paris. Leurs
résultats aux autres concours de la BEL (Banque d’Épreuves Littéraires
communes) ne sont pas moins remarquables : un admis à l’EFAP (École
Française des Attachés de Presse) ; deux admis et cinq admissibles dans
des écoles de commerce ; deux admissibles aux IEP de Lyon et d’Aix, une
admissible au CELSA. Le décalage entre admissibles et admis aux concours de la
BEL s’explique par le fait que tous les « carrés » admissibles et
sous-admissibles aux ENS ont choisi de « cuber » pour tenter à
nouveau leurs chances à ces concours l’année prochaine.
Les lauréats de tous nos CAPES sont également nombreux, en cette
année particulière de transition entre deux masters (Enseignement et MEEF), où
les candidats ont pu se présenter à deux concours : les oraux du CAPES
exceptionnel et le CAPES nouveau. Dans nos six disciplines (Allemand, Anglais,
Espagnol, Histoire-Géographie, Lettres), presque tous les étudiants qui ont suivi
les enseignements et se sont présentés aux concours y ont été reçus. Les taux
de réussite vont donc de 70 à 90% d’admis par rapport aux admissibles (16
admis par exemple sur 19 admissibles en Anglais, 11 sur 15 en Espagnol, 12 sur
15 en Histoire-Géographie).
Quant aux agrégations internes d’Allemand et de Lettres
modernes, elles affichent comme chaque année des taux de réussite très
supérieurs aux moyennes nationales : en Allemand 31% d’admis à l’UPEC
contre 17% en moyenne nationale et en Lettres modernes 30% à l’UPEC contre 9,5%
nationalement.
Jeanne-Marie Boivin, doyen de la Faculté des LLSH